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Mais de quelle manière peut-on être certain que c’est logement la ‘ notoriété ‘ qui est à l’origine d’une détérioration de la santé mentale d’une personne réputée ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer un émoi état psychologique même si elle était restée une de qualité originale ? Autrement dit, certaines vedettes n’auraient-elle pas des « prédispositions au malaise » ? Il faut croire que cela soit parfois le cas, à en croire des faits d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben10 Stiller qui ont fait enfin leur coming out en pressentant qu’ils étaient atteints d’un trouble bipolaire ( ce sont concrètement des critères génétiques qui sont à l’origine de ce trouble ).

Qu’on la pensée ou pas, la célébrité est une rareté en lien avec la visibilité. Touchant toutes les classes sociales, elle permet de découvrir et de s’identifier que ce soit à un sportif, un membre d’une famille supérieure, ou un rédacteur par exemple. Ces dernières années, à l’aide des plateformes sociales, tous peut choisir son marbre à la discrétion de ses rêves. En annonçant son quotidien, la célébrité contribue ainsi à la fascination et à l’identification de ses fans.

Entendue en ce sens, la gloire est un produit récent de l’histoire, d’emblée en lien avec l’explosion des médias et des moyens de diffusion de l’image : ciné, vision, télé, magazines, affiches, Internet… Sans ces moyens-là, la popularité se confondrait encore avec la « renommée » démoniaque d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un assassin comme Landru. Les vedettes sont aujourd’hui partout ou presque : musique, ciné, spectacle bien entendu, mais aussi sport, expansions, art, politique, et littérature… La hollywoodienne, l’idole rock and roll, la top modèle, le gardien de but astre, le télé­animateur insolite, outre certains qui sont ceux de l’aboutissement heureux sociale en général, correspondent en premier lieu un même risque : celui d’être abordé par un nombre ennuyeux de merveilleux peu utilisé. Vous ne les connaissez pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma vendeuse – ils ont parfois oublié le nom qui va avec le visage.

Mais si tous peuvent tenter leur aubaine, appartement peu en sortiront gagnant et beaucoup se casseront les dentition sur ce magnifique rêve. Jamel Debbouze le prouvent : ‘ Je ne suis pas un cas pratique. Je suis une dérogation. ‘ Voilà en quoi la majorité est des vedettes éventuel. Mais, jusqu’à présent, rien ni personne n’a pu trouver la recette supérieure du succès. La célébrité reste un moyen social aventureux géolocalisé entre la enrichissement remportée par le meilleur et l’opportunité qui exalte le plus enchanté. On en connaît certains éléments, cependant il faut, pour que la mayonnaise prenne, une aide si admirable et mystérieuse qu’elle en est inquiétant.

Tous n’ont pas le même problème. La notoriété concorde fréquemment avec un niveau qui toutes les désirs. La fête d’abord ponctuelle est permanente, jusqu’à n’être plus du tout synonyme d’amusement. Whitney Houston fait maintenant partie de ces personnes célèbres qui, en haut de leur renom, ont pris goût à la drogue, et ont vu leur carrière, ou alors leur vie dissolue dans la chimie de leurs miscellanées. Et puis il y a ceux qui malgré une parité obvious, n’ont plus eu la activité d’endurer les déboires de la célébrité. Vies traquées, relations intéressées, perturbées, union violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou encore Heath Ledger, et la popularité a à vif leur spécificité, la rendant intolérable, ajouté, ne leur proposant plus qu’une porte de sortie, enliser

Il estime que quelques scénarios «pré-établis», comme les effondrement d’ascension sociale admirable, déclenchent une réaction intuitive parce qu’ils sont engagés dans nos cerveaux. Si l’on observe les dérangement de personnes célèbres, celui qui défraient le plus le conte aillent souvent à l’une ou l’autre de ces entreprises de base. Prenez la agonie de Charlie Sheen, par exemple : c’est le récit typique du «mauvais garçon» –qui change fréquemment à la recherche de rachat, sur le mode du «Fils prodigue».

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